vendredi 9 mars 2007

Bébé Poumier

C'est le nom de code pour la p'tite boule rose (ou noire, ou verte) qui viendra habiter ici parce que chez lui, c'aura été trop froid, ou trop sombre, ou trop humide, ou trop pas vivable.

Vendredi prochain, ma toute sensible travailleuse sociale viendra à la maison pour vérifier si M-Chue et moi nous nous aimons, si bébé Poumier a une chambre bien à lui, si notre maison est moins froide, moins sombre, moins humide et plus vivable que la sienne. Elle va voir notre trou au plafond, elle va s'asseoir à ma table, elle ne va pas trouver ça si pire. Elle ne va peut-être pas rencontrer Auguste, on verra.

J'ai hâte, oui, parce que ça veut dire que bébé Poumier arrivera vraisemblablement cette année. Je n'ose pas dire "d'ici quelques semaines", même si c'est un peu ça que j'ai en tête. En fait, je peux seulement dire que bébé Poumier ne sera PAS ici vendredi prochain. Mais je ne peux même pas affirmer qu'il ne sera pas là pour Pâques! Ce serait vraiment rapide, même un peu trop, connaissant le rythme du travail gouvernemental, mais quelle surprise ce serait. Cela dit, si bébé Poumier se pointe seulement à la fin de l'été ou en automne, moi, ça me va aussi. Bébé Poumier sera le bienvenu quand ça lui chantera.

Z.

mercredi 7 mars 2007

Deuzans.

Ah ben, criss, ça fait deux ans que j'ai ce blogue. C'est pas comme s'il m'appartenait vraiment, vraiment, mais c'est celui qui porte mon nom.

Il me semble que je viens juste d'écrire que ça faisait un an que je l'avais. Je revois le commentaire de ma blonde qui me dit : "Déjà? Ah ben... " Je pense que dorénavant, je vais seulement venir pour annoncer que le blogue existe depuis une autre année. Ça évitera les âneries de Bourriquet entre les posts vraiment importants, comme celui d'aujourd'hui où je vous annonce que ce blogue a deux ans. Deux ans.

Qui d'autre a deux ans? Ma nièce. Mon mariage. C'est plate, mais c'est pas mal tout ce qu'il y a de jeune dans ma vie. Le reste est pas mal vieux, même mon chien, qui aura sept ans le 13 mars. Même lui, il est désuet (mais doux et propre).

That's it, c'est tout.

Thank you, come again.

Z.